Virginie et Clémentine
Locataire et propriétaire
SOLIHA AIS Bretagne Loire
Jimmy, propriétaire bailleur investisseur locateur et sa locataire témoignent. Il confie depuis 6 ans plusieurs logements à l’agence immobilière sociale SOLIHA. Jimmy apprécie le fait que l’AIS SOLIHA s’occupe de tout : état des lieux, conventionnement, suivi des locataires, réclamation, et gère également les contentieux, en cas de nécessité.
Qu’est-ce qui qualifie le mieux la gestion solidaire avec SOLIHA ?
« Sérénité, on est serein de louer avec cette agence, et ensuite l’accompagnement. On se rend service mutuellement. »
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« Je gérais plusieurs logements et à 80 ans, j’ai décidé de les faire gérer par SOLIHA. (…) L’agence s’occupe de tout, recherche de locataires, l’état des lieux… »
Paul a également puis bénéficier d’aides pour la réalisation de travaux dans les logements mis à la location, grâce au conventionnement Anah.
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Isabelle et son époux ont hérité d’un immeuble en plein cœur de Bayonne. Le couple était attaché à cet immeuble qui appartenait au patrimoine familial depuis de nombreuses années mais ils n’étaient pas en capacité de s’engager seul dans la rénovation du bien.
Ils ont fait appel à SOLIHA Pays Basque pour la partie maîtrise d’œuvre. SOLIHA les a également informé des aides financières mobilisables (financement ANAH) auxquelles ils pouvaient prétendre et les a accompagnés dans le montage financier de cette opération.
Aujourd’hui, satisfaite, Isabelle témoigne de la qualité des travaux réalisés par le service maîtrise d’œuvre.
Suite aux travaux, la gestion des 3 appartements a été confiée depuis mars 2015, comme une suite logique, à l’AIS (agence immobilière sociale) de SOLIHA Pays Basque. Ces trois logements conventionnés, 2 T2 et 1 T3, rénovés avec goût et avec des matériaux de qualités, permettent de loger des jeunes actifs.
Ces logements ont été loués très rapidement au vu de la localisation de l’immeuble, situé en plein centre historique de Bayonne, et de la rareté des biens à loyers accessibles au sein du secteur très tendu de la zone littorale du Pays Basque.
Nous concernant, nous sommes satisfaits de pouvoir proposer des logements à loyer modéré, offrant de belles prestations à des jeunes qui débutent dans la vie active.
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SOLIHA AIS Bretagne Loire
Clémentine est propriétaire de deux logements à Quimper. Elle a fait le choix de déléguer la gestion locative de ses biens à l’agence immobilière sociale, SOLIHA, et ne le ne regrette pas.
Témoignage issus de l’article publié dans Côté Quimper le 24 février 2020 : lire l’article.
« En 2019, il manquait 35 % de logement sociaux dans le Finistère », déclare Raphaël le Borgne, négociateur pour l’association SOLIHA, à Pleyben (Finistère). Face à ce constat, cette Agence immobilière sociale (AIS) se mobilise. « Nous sollicitons les bailleurs privés pour leur proposer d’entrer dans le parc des logements sociaux », poursuit-t-il.
Actuellement 57 logements issus du parc privés sont loués via SOLIHA, à Quimper. Un chiffre qui reste modeste, à l’échelle de la ville. Et pour cause, l’association créée en 2015, issue d’un mouvement pour l’amélioration de l’habitat existant depuis 90 ans, cherche à se faire connaître. Elle manque effectivement de bailleurs privés. Seuls 7 à 8 logements sont proposés à la location à vocation sociale par Soliha, chaque mois dans le Finistère.
Clémentine Youinou est propriétaire de deux logements à Quimper. Elle a fait le choix de déléguer la gestion locative de ses biens à l’agence immobilière sociale, Soliha, et ne le ne regrette pas.
« J’avais entendu parler de locations à caractère social. Mais beaucoup de propriétaires ne connaissent pas les logements sociaux. Ils ont des préjugés. Quand ils entendent social, ils pensent « asociaux ».
Pourtant Virginie Audigou, l’une de ses locataires, en est un contre-exemple. Lorsqu’elle divorce il y a quatre ans, elle cherche un logement en centre-ville, proche de son travail à temps partiel, pour elle et son fils, avec une chambre d’amis.
Ses revenus ne lui permettent pas d’accéder au centre-ville. Après quinze visites infructueuses (logements trop petits ou insalubres), elle trouve sur Le bon coin une annonce pour un appartement « conventionné social et éligible aux APL ». Soliha choisit en effet de publier ses annonces sur Le bon coin, Ouest France immo, Se loger et auprès d’une liste de diffusion constituée de travailleurs sociaux du Finistère.
Virginie Audigou confie :
C’était un cadeau tombé du ciel, ça m’a permis de rebondir.
Elle paye un loyer de 605 euros, pour 90 m2 et un garage en centre-ville de Quimper. Un tarif imbattable, pour un bien que Raphaël Le Borgne estimerait à 750 euros dans le parc privé.
Raphaël Le Borgne confirme que les personnes éligibles aux critères d’obtention d’un logement social « ne sont pas que des personnes en difficulté, mais plutôt des gens avec des faibles ressources. Pour être éligible, il y a un plafond de ressources à ne pas dépasser ».
Le revenu fiscal de référence doit en effet être de 20 800 euros pour une personne seule, de 28 000 euros pour un couple, et 5 700 euros par personne supplémentaire, soit 39 400 euros pour un couple avec deux enfants, par exemple.
Quant à la propriétaire Clémentine Youinou, elle ne voit que des avantages à cette gestion locative. Si les tarifs de location sont en dessous des prix du marché, le bailleur privé bénéficie d’un abattement fiscal de 85 % sur ses revenus locatifs. Et d’une prime de 1000 euros par l’Agence nationale de l’habitat (Anah) si le bailleur privé passe par une agence immobilière sociale.
Elle confirme :
Sur le plan financier je m’y retrouve. La baisse de mon loyer est quasiment compensée par l’abattement fiscal. Et sur le plan social, c’est intéressant de pouvoir donner accès à un logement à des personnes qui en ont besoin ».
La présence d’un tiers est aussi particulièrement appréciée par la propriétaire et la locataire. « Je peux contacter Raphaël Le Borgne facilement et lorsqu’on a fait des travaux, je n’y connaissais rien. J’ai bénéficié d’un conseil technique. Il a demandé les devis à des artisans et je n’ai pas eu à gérer ces aspects pratiques. Ça m’a bien aidé », souligne Clémentine Youinou.
En cas de litiges aussi, c’est l’agence qui prend le relais. Certains propriétaires n’ont même jamais rencontré leurs locataires. « Nous sommes les interlocuteurs des deux parties », confirme Raphaël Le Borgne.
Et le négociateur de Soliha d’ajouter, que grâce à son agrément du ministère du Logement, l’agence est financée en partie par des aides publiques. Cela permet à l’agence de proposer des tarifs très avantageux.
Nous proposons une gestion locative à hauteur de 8 % des sommes encaissées par mois, pourcentage dégressif en fonction du nombre de logements qui nous sont confiés. Une somme de 210 euros est honorée par les deux parties, avant de signer la convention de location. Par ailleurs, locataires et propriétaires disposent d’une assurance gratuite pour les impayés.
Toutes ces facilités pour le locataire éligible et le propriétaire sont toutefois conditionnés par une convention, qui engage le bailleur sur une durée de 6 ans. « Si cet engagement est rompu, le bailleur doit rembourser le montant total des abattements », précise Raphaël Le Borgne. Un moyen de sécuriser les locations et d’engager les bailleurs privés sur la durée.
Sur le plan financier je m’y retrouve. La baisse de mon loyer est quasiment compensée par l’abattement fiscal. Et sur le plan social, c’est intéressant de pouvoir donner accès à un logement à des personnes qui en ont besoin. Clémentine, propriétaire
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SOLIHA Morbihan
Annick et Michel, retraités et propriétaires bailleurs de deux logements (de type T2) à Lorient, n’ont pas hésité un instant. En devenant bailleurs solidaires, ils ont confié la location de leurs logements, jusqu’ici gérés par leurs propres soins, à l’agence immobilière sociale SOLIHA Morbihan.
Louer solidaire, un bon investissement alors ? « Oui, jauge sans détour Michel Lesimple, cette idée de solidarité envers les plus démunis, les aider à sortir de la précarité, nous a séduits, alors nous avons franchi le pas. Nous nous sentons accompagnés, épaulés ».
« Notre dispositif de location solidaire n’a pas de caractère d’urgence » détaille Mélodie Moreels, pilote de l’AIS. « Néanmoins, nos solutions permettent aux personnes en grande difficulté sociale, 49 % de personnes seules, (88 % sont des femmes !), d’accéder à un logement à loyer modéré (prix moyen, 5,90 le m2), adapté à leurs besoins. Nous leur offrons un nouveau parcours résidentiel »
Cette idée de solidarité envers les plus démunis, les aider à sortir de la précarité, nous a séduits, alors nous avons franchi le pas. Nous nous sentons accompagnés, épaulés.
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SOLIHA Alpes Maritimes
SOLIHA a mobilisé des subventions de 25 à 30% pour rénover ces logements et Jean-Paul profite aussi d’un abattement sur les revenus fonciers de 85%.
Podcast de France Bleu Azur diffusé le 15 novembre 2018
à écouter sur France Bleu Azur
Nicolas Mérou, journaliste, a interviewé Jean-Paul, propriétaire de 6 appartements à Cannes et Stéphane Le Floch, Directeur de SOLIHA Alpes Maritimes.
Suite à de nombreux problèmes aves ses locataires, Jean Paul s’est tourné vers SOLIHA Alpes Maritimes.
3 raisons expliquent son choix :
« SOLIHA a mobilisé des subventions de 25 à 30% pour rénover ces logements et Jean-Paul profite aussi d’un abattement sur les revenus fonciers de 85%. »
un vrai bon plan qui sert à tout le monde - Nicolas Mérou, journaliste pour France Bleu Azur.
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SOLIHA Provence
Le Mouvement SOLIHA, Solidaires pour l’habitat, se mobilise pour l’accueil et l’accompagnement personnalisé des personnes réinstallés dans plusieurs territoires en France.
Razan et Sherine, Kurdes de Syrie ont fuit la guerre en 2012 pour se réfugier au Liban. Ils y sont restés 4 ans avant de déposer une demande d’asile acceptée par la France, dans le cadre du projet européen d’accueil et de réinstallation. La famille est accueillir à Saint-Martin de Crau le 7 juin 217.
Le couple et ses trois petites filles bénéficient d’un accompagnement social global, dans le cadre du partenariat entre France terre d’asile et SOLIHA Provence.
Autour de la famille s’est développé un élan de solidarité porté par la commune, les services rattachés et des citoyens bénévoles.
« Ces associations nous ont beaucoup aidés, dans toutes les démarches… et nous les en remercions. »
Nous sommes arrivés à l'aéroport de MArseille où nous avons été accueillis par les associations, elles nous ont conduits en bus jusqu'à l'appartement. Avant même que nous n'arrivions, elles avaient équipé la maison car elles savaient que nous n'avons plus rien. Ces associations nous ont beaucoup aidés, dans toutes les démarches... et nous les en remercions.
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SOLIHA Loire
Depuis que j’ai un logement avec SOLIHA Loire, j’ai trouvé du travail
Manana, 53 ans mariée, 3 enfant : « Avec ma famille, nous avons alterné les foyers et les hôtels pendant 10 ans avant d’obtenir un titre de séjour. Nous avons ensuite pu être inscrits comme demandeurs prioritaires de logement et SOLIHA Loire nous a proposé ce logement.
J’ai pu trouver du travail, aménager et décorer mon appartement. Aujourd’hui je me sens vraiment bien chez moi, dans mon immeuble et dans mon quartier. »
« Aujourd’hui je me sens vraiment bien chez moi, dans mon immeuble et dans mon quartier. »
Depuis que j'ai un logement avec SOLIHA Loire, j'ai trouvé du travail.
70 m2
Déduction fiscale/an
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SOLIHA Pas-de-Calais
Une famille, un déménagement et une nouvelle vie avec SOLIHA.
Amandine était maman d’une fille de 8 ans née d’une première union et d’un fil de 4 ans quand elle a appris qu’elle attendait sont troisième enfant. « Je vivais dans un appartement au quatrième étage sans ascenseur, avec deux chambres, à Hénin-Beaumont. Ça n’était plus possible. Je voulais autre chose pour mes enfants, plus de place et au moins un petit extérieur.
La jeune femme pianote sur le web et tombe sur une annonce séduisante. Aujourd’hui, âgée de 28 ans, et avec son fils d’un an dans les bras, elle a le sourire. Elle a emménagé à Loison-sous-Lens en décembre.
« Une fois le loyer réduit, il me reste assez pour faire mon mois, confie cette maman qui tient bien serrés les cordons de sa bourse. Nous sommes très contents de vivre ici. »
La propriétaire est passée par l’association SOLIHA, ce qui lui a permis d’obtenir des conseils en matière de travaux à prévoir et de bénéficier d’un abattement fiscal de 85 % des loyers bruts. En contrepartie, elle s’est engagée à louer son bien à un loyer maîtrisé. SOLIHA a étudié le dossier et vérifié que le projet de déménagement de la famille était réalisable. Et le bail a pu être signé.
Si le loyer est de 620 € pour cette maison type 5, le reste à charge pour Amandine, bénéficiaire du RSA, est d’un peu plus de 200 €. « Une fois le loyer réduit, il me reste assez pour faire mon mois, confie cette maman qui tient bien serrés les cordons de sa bourse. Nous sommes très contents de vivre ici. Au début, ma petite a eu du mal avec le changement d’école. Maintenant, elle ne voudrait plus changer et nous, non plus ».
En 2017, SOLIHA Pas-de-Calais a géré 733 logements et a relogé 114 familles, 58 ménages ont été accueillis dans des structures d’hébergement.
Ce sont des locataires exemplaires qui prennent bien soin de leur habitation, et ça, c'est important aussi - Gestionnaire SOLIHA Pas-de-Calais
Déduction fiscale/an
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Agence Immobilière Sociale Ile-de-France
L’Agence Immobilière Sociale d’Ile-de-France, m’a aidé à mener à bien ce projet et maintenant SOLIHA s’occupe de la gestion locative.
« J’ai acheté en décembre 2010 au prix de 80 000 € un studio inoccupé depuis des années dans le 12e arrondissement de Paris. J’ai réalisé 15 000 € de travaux, dont 2 000 € ont été pris en charge par le dispositif de la Ville de Paris : Louez solidaire et sans risque. En échange, je respecte des plafonds de loyers, légèrement inférieurs à ceux du Scellier.
Le bien est loué 360 € par mois à un homme travaillant à Paris et qui jusqu’ici vivait dans un foyer de jeunes travailleurs. L’Agence Immobilière Sociale d’Ile-de-France, m’a aidé à mener à bien ce projet et maintenant SOLIHA s’occupe de la gestion locative. Je fais un heureux et j’ai un rendement de 5,7 % après avantage fiscal (Borloo Ancien). »
Une heureuse et nouvelle locataire, Adeline et ses deux filles, locataires d’un appartement à Juvisy-sur-Orge.
« Malgré un loyer inférieur au marché, mon studio me rapporte 5,7 % »
Rendement
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